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ETS1: suite des échos médiatiques...

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Retrouvez ici les échos récents concernant le référendum contre ETS1.

ETS1 : le ping-pong continue" (Le Nouvelliste, 6.10.14) 

"Exceptionnellement, deux conseillers d'Etat (Oskar Freysinger et Maurice Tornay) étaient présents lors de l'assemblée des délégués. Jean-Marie Cleusix avait aussi fait le déplacement aux Creusets. SACHA BITTEL" (source : Le Nouvelliste)

La FMEP a rappelé sa position contre les mesures d'économie lors de l'assemblée de ses délégués.

Il n'y a pas de détente sur le front du décret ETS1. Réunis samedi matin, 206 délégués de la Fédération des magistrats, des enseignants et du personnel de l'Etat du Valais (FMEP) ont rappelé leur position. Ils ne veulent pas entendre parler des mesures d'économie (décret ETS1) proposées par le gouvernement. Après le référendum qui a débouché sur la récolte de plus de 9000 signatures, la FMEP compte mener une large campagne afin de rallier les citoyens valaisans à sa cause. "Le décret ETS1 est un ballon d'essai qui donne carte blanche à 100 millions de francs d'économie, nonobstant les tentatives d'Oskar Freysinger pour minimiser son impact. Le regarder passer sans rien faire aurait donné un très mauvais signal" , a martelé Marylène Volpi Fournier, présidente de la FMEP.

Elle a ajouté: "Sans ce référendum, on irait à coup sûr vers le pire: 300 à 400 millions de coupes dans les prestations aux Valaisans sur les trois prochaines années. Tous les secteurs seraient touchés: école, santé, sécurité, services aux citoyens, justice, routes, avec à la clé des suppressions d'emplois et des conditions de travail dégradées dans le service public. Cela d'autant plus que la population valaisanne a augmenté de plus de 20% en dix ans. On ne peut pas assurer les mêmes prestations avec un blocage du personnel." Pour la présidente de la FMEP, un autre problème se pose: "On ne parle que de couper dans les dépenses, pourquoi personne ne réfléchit à une hausse des recettes? ETS1 est une machine à engager la récession."

Maurice Tornay réplique

Présent à la réunion, le conseiller d'Etat Maurice Tornay ne partage pas du tout ce point de vue. "Le passé c'est bien, l'avenir c'est mieux. C'est important d'entretenir un partenariat avec nos employés. Nombreux sont ceux qui envient un tel partenariat. Cepen dant, nous regrettons le lancement de ce référendum. La période à venir est difficile mais pas insurmontable. Sur les 31 millions de francs concernés par ETS1, 75% représentent de l'argent qui sera utilisé directement au lieu de procéder à de l'épargne. Nous avons fait de gros efforts pour arriver à ce résultat. Si le référendum passe, il faudra trouver d'autres solutions. Nous n'avons pas touché aux salaires. Il y a juste un effort à faire. Quelle profession actuellement n'a pas d'effort à faire?"

Ping-pong entre les deux camps

Après que les deux parties ont pu présenter leur point de vue, la réunion s'est poursuivie par une séance de questions-réponses entre les délégués et les deux représentants du gouvernement à savoir Maurice Tornay et Oskar Freysinger. Ce dernier a insisté en relevant qu'il était très difficile de faire des coupes dans son département: "La formation et la sécurité sont des domaines qui coûtent. Je n'ai pratiquement que des dépenses, c'est difficile de trouver des solutions. Je n'ai aucun plaisir à trouver où économiser mais je n'ai pas le choix. A la maison, c'est ma femme qui gère le budget, je ne pensais pas que c'était aussi compliqué... Là je dois économiser 2,5 millions. Si le référendum passe, cela sera 9 millions. Je ne vois pas où les trouver. On a déjà enlevé tout le gras. Il va falloir s'attaquer au muscle si ça continue. Il y a très peu de chances que le Grand Conseil accepte une hausse des impôts, donc il faudra trouver de l'argent ailleurs."

Interrogé sur les mesures prises pour le personnel, Maurice Tornay a rappelé que personne n'avait jamais été abandonné: "Nous n'avons jamais laissé tomber un employé et nous continuerons." Un professeur a critiqué la situation actuelle en relevant qu'il était impossible de gérer une classe de vingt-six élèves: "Vous envoyez vos enfants au casse-pipe!" a martelé l'enseignant juste avant d'être longuement applaudi. "Nous n'avons jamais laissé un professeur seul , a répliqué Oskar Freysinger. C'est un exercice désagréable mais nous n'avons pas le choix." Au final, chaque partie a annoncé vouloir mener campagne jusqu'au bout. Fin du match le 30 novembre prochain lorsque le peuple tranchera. Selon le verdict des urnes, il faudra jouer les prolongations...

Source : Le Nouvelliste, David Vaquin, 6 octobre 2014

"Deux conseillers d'Etat à l'assemblée FMEP" (Canal 9, 6 octobre 2014)

"Deux conseillers d'Etat, sinon rien...Maurice Tornay et Oskar Freysinger ont pris part samedi à l'assemblée des délégués de la Fonction publique. Avec en toile de fond, le référendum de la FMEP contre les mesures d'économie décidées par le Canton.
Selon l'Etat du Valais, le décret ETS 1 doit permettre d'économiser 31 millions de francs, dont 10% sur le compte de la formation. Au-delà du politique, c'est le peuple qui aura le dernier mot, le 30 novembre prochain."

Source : Canal9, 6 octobre 2014

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